Le 08/06/2021 à 22:31, Brent Frère a écrit :
On entendait dire que le pass sanitaire ne
contiendrait pas d'informations
médicales, juste une certification de validité entre deux dates.
Que le moyen de le lire serait transmis par l'Europe sous forme de code-source
ouvert.
Que la lecture du certificat ne nécessiterait pas de connexion Internet (qui
implique un tracking des activités du porteur).
On n'en est plus là depuis très longtemps. En matière de protection de la vie
privée en général, nous savons tous bien que nous sommes multi-espionnés par à
peu près tout : GSM, browser, voitures genre Tesla, carte Visa, réseaux sociaux,
etc., etc., etc., avec recoupement des bribes d'informations par des méthodes
sophistiquées chez la NSA et à peu près tout le monde, privé, public, mafias,
etc., etc. etc.
Mais dans le domaine médical, comme le savent certains, j'en connais un petit
rayon en matière de stockage de l'information confidentielle dans les cabinets,
les hôpitaux, etc. : qualité des logiciels (passons...), confidentialité,
corruption des données par incompétence des programmeurs, sécurité (en gros :
inexistante), etc., etc., etc.
Et ça s'aggrave rapidement :
https://www.youtube.com/watch?v=IWzmYE60_dc
tout cela (et bien plus), de façon parfaitement délibérée, bien entendu, de la
part entre autres des GAFAM, de la NSA, etc., et avec la complicité active (et
souvent directement pénalement répréhensible, genre corruption caractérisée,
voir haute trahison), des « élus » des « démocraties », et ne nous fâchons pas
en en tirant des conséquences en matière politique...
Bref : on n'en est plus là depuis longtemps.
Alain Louge